Rondel
Mademoiselle ValentineA les yeux clairs et le teint blanc ;Comme un calice étincelant,Elle ouvre sa bouche enfantine. Le rondeau,
Mademoiselle ValentineA les yeux clairs et le teint blanc ;Comme un calice étincelant,Elle ouvre sa bouche enfantine. Le rondeau,
Par les soirs où le ciel est pur et transparent,Que tes flots sont amers, noire mélancolie !Mon coeur est
À Gustave de Coutouly. Vous dont les rêves sont les miens,Vers quelle terre plus clémente,Par la pluie et par
C’est toi, chère exilée ! Oh ! Laisse que j’adoreTa figure divine où rayonne l’aurore,Ô république, amour vivace de
Que l’on m’enterre un matinDe soleil, pour que nul n’essuie,Suivant mon cortège incertain,De vent, de bourrasque ou de pluie.Car,
… Mais je prendrais mon cour meurtri, mon coeur qui saigneEt je l’enfilerais, pareil à ceux qu’on voitGalamment transpercés