Triste penser, en prison trop obscure
Triste penser, en prison trop obscure,L’honneur, le soin, le devoir et la cureQue je soutiens des malheureux soudards,Devant mes
Triste penser, en prison trop obscure,L’honneur, le soin, le devoir et la cureQue je soutiens des malheureux soudards,Devant mes
Plus j’ai de bien, plus ma douleur augmente ;Plus j’ai d’honneur et moins je me contente ;Car un reçu
Ô triste départir,De moi tant regretté !Deuil ne sera ôté,Qui mon coeur fait partir : J’entends jusques au revoir,Si
Malgré moi vis, et en vivant je meurs ;De jour en jour s’augmentent mes douleurs,Tant qu’en mourant trop longue
Étant seulet auprès d’une fenêtre,Par un matin comme le jour poignait,Je regardais Aurore à main senestreQui à Phébus le
Celle qui fut de beauté si louableQue pour sa garde elle avait une armée,A autre plus qu’à vous ne