Sous ce large peuplier par trois fois trois je tourne
Sous ce large peuplier par trois fois trois je tourne,J’y basty un autel de trois fois trois gazons,J’y apporte
Sous ce large peuplier par trois fois trois je tourne,J’y basty un autel de trois fois trois gazons,J’y apporte
Qui voudroit resister à la puissance tienneDoux enfant de la nuit, il luy faudroit aux dieuxS’esgaler tout à fait,
Muse, n’est-ce point là le feu de la DeesseQui naquit autrefois dans le champ marinier,Qui d’un brin esclattant ne
Muse, conseil ; lequel il me faut prendrePour reposer. Le frais, l’ombre ou le vertQue ce ruisseau, ce bois,
J’ose glisser sur ton douteux empireDieu enjonché, pour y dire ton los* ;Reçoy moy donc, et repousse les flotsQui
Espritz qui voletez sur le bruict que bourdonneLe fleuve recourbé qui de son viste coursLeche presque le tour de