Sonnet
Ma Triste, les oiseaux de rireMême l’été ne voient pasAu Mutisme de morts de glasQui vint aux grands rameaux
Ma Triste, les oiseaux de rireMême l’été ne voient pasAu Mutisme de morts de glasQui vint aux grands rameaux
Ah ! sur les terrasses en prenant nos épauleslongtemps, parmi la nuit d’étoiles à meurtrirnotre gloire, passons ! Mes
Tuant, sur un sopha, sonneur des modes las,Amant des rimes d’or rarissimes et vierges,Dans les rêves le spleen, –
Vie, et ride des eaux, depuis que hors l’amèreNavrure de ses Yeux son âme ne sourd plus,De ses Yeux
Ainsi qu’une prière et qu’un ennui, soleilles –Tu, lune pleine ! haut au haut des peupliers !Tout a l’air
La Ville au loin monte des voeux immolateurs… Par les vitres en haut, la Ville, – aux Yeux –
Menez-les, lesChevaux du vent du Sud, à la rivièreMenez-les !… Dans l’entame de leurs plaiesPareilles au sexe des vierges,
En m’en venant au tard de nuitse sont éteintes les ételles :ah ! que les roses ne sont-ellestard au
Pour les Fagots du Four, antreclair-vespéralement qui se voûte d’ors, oùcuire l’éternel pain rondi, même lors qu’entrele rutilant soleil
Un soir l’Orgue d’église aux spasmes des ViolonsMontait loin sa douleur sourde en les râles longs :Voix de genèse,
Il ne veut pas dormir, mon Petit…Mon petitNe veut pas dormir, et rit ! et tend à la lumièreLe
Tout moderne, et voyant de nos modernes âmes,Des soirs vieux, malgré lui, hors du Vrai, sans paphosOù des déesses,