Ruines
À Maurice Nicolle. L’illustre ville meurt à l’ombre de ses murs ;L’herbe victorieuse a reconquis la plaine ;Les chapiteaux
À Maurice Nicolle. L’illustre ville meurt à l’ombre de ses murs ;L’herbe victorieuse a reconquis la plaine ;Les chapiteaux
Je veux m’enfermer seul avec mon souvenir,Immobile, oublieux des rafales d’automneQui font les frondaisons se rouiller et jaunirEt de
L’automne a dénudé les glèbes et le soir.Un soir d’exil et de mains désunies,S’approche à l’horizon des plaines infinies,Roi
La nuit tiède est clémente à la ville qui dort ;Des lys impérieux triomphent dans la chambreEt cependant nos