Vous dans qui le plus beau des dieux
Son aimable et son gracieux
Voulut si pleinement répandre,
Vous, dont le luth harmonieux
Fait que tous, jeunes et vieux
Sont à vous, à vendre et dépendre,
Comme, en sa mort mélodieux
Chante un cygne aux bords du Méandre,
Je viens, en mourant, vous apprendre
Par ces vers, peut-être ennuyeux
Que mon coeur ne s’est pu défendre
De tout ce qui l’a su trop prendre
Et par l’oreille et par les yeux.

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