Le déconforté
Si de la mort telle était la puissanceQue du regret qui m’est venu saisi r;Ou qu’elle fût sous mon
Si de la mort telle était la puissanceQue du regret qui m’est venu saisi r;Ou qu’elle fût sous mon
Diane, en couche, se sentantDe la rude mort assaillie,Et déjà du tout lui étantLà vive parole faillieA son mari
Fontaine, dont l’eau cristalline,D’amont le rocher tombe aval,Murmurant parmi la colline,Puis tombe paisible en son val,Où d’une trace continueTorse