Trois petits préludes
(I) La nuit s’est referméeComme un calice obscurSur la pulpe doréeEt tiède de la chambre. La lampe se consumeSous
(I) La nuit s’est referméeComme un calice obscurSur la pulpe doréeEt tiède de la chambre. La lampe se consumeSous
Trésors des nuits et vous dons éclatants du jour,Qui m’avez, ombre molle ou trop vivace flamme,De tendresse ou d’orgueil
La brume s’échevèle au détour des allées,Un souvenir épars s’attarde et se recueille,Il flotte une douceur de choses en
Calme des nuits sur l’OcéanÉtoiles et feux du navire,Et l’éternel balancementDes houles et de mon désir. Qui donc es-tu,