Villanelle d’Amidor reprochant une légèreté
À la fin celui l’auraQui dernier la servira.De ce coeur cent fois volage,Plus que le vent animé,Qui peut croire
À la fin celui l’auraQui dernier la servira.De ce coeur cent fois volage,Plus que le vent animé,Qui peut croire
Sur la constance de son amitié Amarillis toute pleine de grâceAllait ces bords de ces fleurs dépouillant,Mais sous la
Sonnet Elle feint de m’aimer, pleine de mignardise,Soupirant après moi, me voyant soupirer,Et par de feintes pleurs témoigne d’endurerL’ardeur
Si l’on me dédaigne, je laisseLa cruelle avec son dédain,Sans que j’attende au lendemainDe faire nouvelle maîtresse ;C’est erreur
Dessus les bords d’une fontaineD’humide mousse revêtus,Dont l’onde à maints replis tortusS’allait égarant dans la plaine,Un berger se mirant