Sonnet
” Où es-tu ? “, disait-elle, errant sur le rivageOù des saules trempaient leurs feuillages tremblants ;Et des larmes
” Où es-tu ? “, disait-elle, errant sur le rivageOù des saules trempaient leurs feuillages tremblants ;Et des larmes
La tranquille habitude aux mains silencieusesPanse, de jour en jour, nos plus grandes blessures ;Elle met sur nos coeurs
Les caresses des yeux sont les plus adorables ;Elles apportent l’âme aux limites de l’être,Et livrent des secrets autrement
Quand le Faisan doré courtise sa femelle,Et fait, pour l’éblouir, la roue, il étincelleDe feux plus chatoyants qu’un oiseau