L’éternel fardeau
Il est, mon frère, un meuble sombreQu’en t’éveillant tu vois d’abord :La nuit dans ta chambre est encor, –Tu
Il est, mon frère, un meuble sombreQu’en t’éveillant tu vois d’abord :La nuit dans ta chambre est encor, –Tu
Je n’ai vu ni Venise un soir à sa gondole,Ni Naples, ni l’Etna : pourtant, je m’en console !Car
Enfants, le ciel, le ciel sur nos campagnesA déployé de bien vives couleurs.Sur nos lacs bleus, sur nos vertes
Par la brise d’automne à la forêt volée,Une feuille d’érable erre dans la vallée :Papillon fantastique aux ailes de