Sur ma vieillesse
Il fallait n’être vieux qu’à SparteDisent les anciens écrits.Ô dieux ! combien je m’en écarte,Moi qui suis si vieux
Il fallait n’être vieux qu’à SparteDisent les anciens écrits.Ô dieux ! combien je m’en écarte,Moi qui suis si vieux
Clusine, qui dans tous les tempsEut de tous les honnêtes gensL’amour ou l’estime en partage ;Qui toujours pleine de