L’idole
Ô Corse à cheveux plats ! que ta France était belleAu grand soleil de messidor !C’était une cavale indomptable
Ô Corse à cheveux plats ! que ta France était belleAu grand soleil de messidor !C’était une cavale indomptable
” C’est moi ; – moi qui, du fond des siècles et des âges,Fis blanchir le sourcil et la
Il est, il est sur terre une infernale cuve,On la nomme Paris ; c’est une large étuve,Une fosse de
I Oh ! lorsqu’un lourd soleil chauffait les grandes dallesDes ponts et de nos quais déserts,Que les cloches hurlaient,