Quelles obscuritez, quels importuns nuages
Quelles obscuritez, quels importuns nuagesVont de mon ame, helas, le jour obscurcissant !Son Soleil n’y luit plus, et le
Quelles obscuritez, quels importuns nuagesVont de mon ame, helas, le jour obscurcissant !Son Soleil n’y luit plus, et le
Ô nuict, heureuse nuict, plus blanche que l’aurore,Plus belle que le jour par son astre esclairé,Qui pour nous faire
Le Phenix ja chargé de chair, et de vieillesseAmoureux d’une mort, qui meure de plaisir,Vole aux montz les plus
Il estoit bien seant que ce corps veritable,Qui fut le vestement du grand verbe incarnéFust conceu d’un pur sang
Ce n’est pas sans raison, que l’homme on accompareA l’arbre renversé, dont la racine en hautLa cyme tend en